Quel est votre angle sur le digital ? Quelle est votre approche du visuel, de la communication et du marketing ? Comment partagez-vous votre voix ?
Pour ma part, j’ai au fil de mes expériences construit une vue sur la question que je suis heureux de partager avec vous ici. Ce site est pensé, codé et mis en forme, selon cette perspective. Je suis Yves Guillo, spécialiste digital et designer graphique.
Je maîtrise les outils de conception et de production pour l’impression, le web, l’animation, la 3D/2D ainsi que les langages de script, de balisage et de mise en forme web (JS, PHP, HTML5 et CSS). Mes expériences m’ont amenée à travailler dans divers domaines numériques, du marketing à la présence digitale en passant par, la gestion de projets CRM, la gestion de production média et la production d'art contemporain.
Diplômé de l'EBABX, l’École d'enseignement supérieur des Beaux-Arts de Bordeaux, j’y ai appris les méthodologies de la créativité, l’autocritique et l’autonomie de production, ainsi que la valeur de la polyvalence. L'exigence sur le fond et la sincérité du propos sont dans mes travaux un soutien productif et un facilitateur. Ils répondent à la majorité des questions et garantissent la cohérence des productions.
Ici, je vous propose d’en apprendre davantage sur cette approche.
Construites à votre image, vos applications accompagnent votre audience sur un échange. Pour un instant ou sur la durée, la technologie est au service de votre voix.
C'est en plongeant que l'on comprend les océans. Parfois, il faut transporter votre audience dans votre monde pour la convaincre.
Bien plus qu'un logo. À l'origine de tout votre univers graphique, votre identité visuelle, née de votre vision, vous accompagne et consolide vos créations.
Adaptation de contenus de librairie ou construite pour vous, vos illustrations ne sont pas celles qui « conviennent » ; ce sont celles qu'il vous faut.
La digitalisation n’est pas un challenge, c’est un projet. Il y a les outils prêts-à-porter et les outils sur mesure. Tout dépend de votre véritable besoin et de son analyse.
La photographie est un langage, une représentation qui décrit ou invente votre monde. Elle se construit et se capture selon vos besoins.
Émotionnelles ou didactiques, vos vidéos sont votre image et votre voix en campagne pour vos projets.
Le canevas de l'espace de monstration et le médium sont des univers dimensionnels finis que l'on peut accorder, faire entrer en résonance, en solliciter la parole pour transmettre l'émotion.
Intellectualisé, le lieu dépasse le confinement de la qualité physique des choses. Le « quoi » et le « où », par les liens que l'on y imprime, tendent à entrer en contact avec l'audience, produire du questionnement. Le « pourquoi » et le « comment » vibrent entre l'espace physique et l'intellect, créant une résonance qui devient représentation. L'expression d'un concept dont les dimensions sont bien plus vastes que l'installation.
Issus du guidage et de la fédération des agences externes ou orchestrés en interne, vos projets digitaux sont des partitions qui jouent l'air de vos campagnes. Quelle que soit la simplicité de la ligne d'un acteur, ensemble, elles produisent des compositions riches et complexes ou intelligemment simples. Via des solutions clés en main, ou composés sur mesure, vos projets digitaux sont empreints de votre identité, ils vous ressemblent et portent votre ton.
L'analyse et la stratégie sont des créations collégiales, elles se produisent collectivement, par l'échange et par la mesure. Rationnelle, pragmatique, elle découle de l'inventivité collective et fédère tous les intervenants autour de l'objectif commun : votre projet et votre ouverture au monde. Elle est l'outil dont toute votre présence découle et que vous partagez avec les partenaires de votre démarche pour accorder votre groupe et unifier vos efforts.
Le marketing n'est pas un dogme, c'est une construction, une création très identitaire à partager avec son audience. Les canaux, les formes et les technologies sont tous des pièces de la boîte de Lego, mais elles ne sont pas toutes faites pour votre projet. Bien les choisir, c'est renforcer votre identité et canaliser vos ressources. Le digital est un moyen du marketing, savoir identifier les porosités ou les incompatibilités de vos campagnes physiques et numériques fait aussi partie du marketing digital.
Le graphisme est une forme qui prend la parole, investit son support pour s'adapter à son audience et lui transmettre l'idée. La sincérité du message tient aussi dans la simplicité apparente et la clarté des moyens employés. Le graphisme est là pour affirmer votre ton, asseoir votre style et transmettre vos concepts sans les étouffer. Les technologies et les effets ne sont pas le message ni des démonstrations, ils font partie du message et doivent être choisis avec soin pour l'élever.
Vos plateformes sont les ambassadrices de votre projet. Bien souvent, elles sont porteuses de la première impression que vous laissez à votre audience. L'expérience utilisateur est un processus itératif dont la première passe consiste à traduire vos systèmes et leur utilisation en un voyage sans accroc. Ce voyage n'est pas une formalité dictée par la technologie, il véhicule votre style et votre identité. Il vous représente et vous ressemble. Le chemin que vous souhaitez offrir vous appartient.
Transformer vos concepts en phrase que l'on pourrait porter sur un T-shirt, le traduire en punchlines, synthétiser vos exposés ou approfondir vos discours, le rédactionnel est au service de votre message et emprunt de votre identité. Il transmet avec générosité votre parole à votre public et affirme votre singularité. Par la décomposition, on remonte à la source sémantique, pour imprimer la forme la plus personnelle à votre message et le renforcer.
Le concept est une entité mentale, il n’a pas de forme, pas de matière. Qu’il soit philosophique, psychologique, ou encore mathématique, il consiste en une construction intellectuelle indirectement accessible. C’est un énoncé. Il s’agit d’idées transmises par le langage et traitées individuellement. Chaque receveur agit ensuite sur le concept pour en produire une construction permettant la compréhension ou l’approche de la compréhension.
En mathématique géométrique, le plus souvent, le concept est une phrase qui peut directement faire écho. Il peut produire une impulsion immédiatement imagée et faire émerger un objet presque automatiquement. C’est le cas lorsque le concept décrit un objet adapté à notre réalité et ses dimensions. La construction mentale qui en découle est naturelle.
Dans le cas de l'énoncé d'un objet « impossible », comprenant des règles hors de notre portée sensitive, notre possession du concept se limite à la phrase. Il existe autant de constructions que d’individus saisissant le concept. La construction mentale étant la base de la projection autour du concept, chaque individu l’élabore différemment et l'approfondit de manière différente.
Ces processus sont protéiformes et propres à chacun. La question qui les entoure est une recherche créative, un champ de production toujours en expansion.
x, y, z et t ne suffisent pas, la production artistique est une empreinte. Tous les objets se réduisent dès qu’ils interagissent. Un élément s’effondre sur un état dès qu’il est perçu. Dans le champ perceptif humain, il s’effondre jusqu’à rentrer dans x, y, z et t. Par le filtre de l’outil, le concept devient représentations. Il devient intelligible et autonome. L’outil déploie un champ de possibilités dans une réalité dimensionnelle qui lui est propre.
La production d’une représentation induit des dénaturations inhérentes à l’outil. Les pertes et la fidélité de la représentation dépendent de l’espace de l’outil. Il s’agit alors d’une transposition, d’une portabilité du concept dans cette réalité. L’acceptabilité de la représentation découle du choix des formes de remplacement. Puisque la représentation ne peut pas être parfaite, les choix des pertes et substitutions constituent un geste esthétique et sensible. La représentation devient une phase de l’objet du concept, un état.
L’accès au concept passe de la réception par le sens, à la perception. Un concept devenu perceptible est à l’état de survivance. Les compromis de représentation sont des coupes brutales dans sa nature. Un concept qui subit le filtre successif des représentations se cristallise, se fige dans un état, objet résiduel, une empreinte.